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mardi 28 mars 2017

Les roues de friction

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mercredi 22 mars 2017

Le moulage en sable

Le moulage en sable utilise un matériau réfractaire et qui se présente sous la forme de petits grains ; on peut donc lui donner la forme que l'on veut, et figer cette forme avec un additif. Cela en fait un matériau de choix pour la conception de moules ; cependant, c'est un moule à usage unique, mais que l'on peut fabriquer facilement de manière répétée.


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mardi 21 mars 2017

Le Tournage

Le tournage mécanique est un procédé d'usinage par enlèvement des extractions de matière qui consiste en l'obtention de pièces de forme cylindrique ou/et conique à l'aide d'outils coupants sur des machines appelées tour. La pièce à usiner est fixée dans une pince, dans un mandrin, ou entre pointes. Il est également possible de percer sur un tour, même si ce n'est pas sa fonction première.


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Les Accouplements

En mécanique, un accouplement ou joint de transmission est un dispositif de liaison entre deux arbres en rotation, permettant la transmission du couple. Il permet éventuellement un certain désalignement (accouplement élastique, joint de cardan...), autorise des décalages angulaires (accouplement hydraulique...) et peut être temporairement inactif (embrayage, crabotage). Un accouplement mécanique peut être un accouplement élastique, un accouplement à membranes, un accouplement à denture métallique ou encore un accouplement à soufflet.
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lundi 20 mars 2017

Les Freins

Un frein est un système permettant de ralentir, voire d'immobiliser, les pièces en mouvement d'une machine ou d'un véhicule en cours de déplacement. Il existe plusieurs types de freinages mais la plupart transforme l’énergie cinétique en énergie thermique qu'il faut dissiper le plus rapidement possible. D'autres systèmes convertissent l’énergie cinétique en une autre énergie (très souvent électrique) ce qui est appelé freinage régénératif.
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dimanche 26 février 2017

Les Mini stations nucléaires peuvent nous emmener dans une nouvelle ère d'énergie


La production d'électricité suivant la nouvelle norme

Dans le cas des centrales nucléaires, l'une des entreprises croient que plus les grandes solutions ne sont pas toujours les meilleures. La société Nuscale Power a présenté une conception réduite des centrales électriques traditionnelles.
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samedi 25 février 2017

CONTRÔLES NON DESTRUCTIFS : CONTRÔLE D'ÉTANCHÉITÉ


Le contrôle d'étanchéité a pour but de s'assurer qu'une enceinte ou une partie d'enceinte ne
présente pas de fuite supérieure aux critères d'acceptation imposés.
 Principe
Le principe du contrôle d'étanchéité comprend deux phases :
  •  La diffusion aux travers des défauts de la paroi à vérifier d'un fluide (gaz ou liquide)
  •  La détection de la fuite par une technique appropriée.
Les méthodes se distinguent par :
  •  Le moyen de diffusion (mise en pression ou en dépression)
  •  Le fluide utilisé (air, hélium, eau, pétrole,...)
  •  Le moyen de détection (eau savonneuse, détecteur d'hélium,...).
Ce type d'essais peut être effectué sur :
  •  Des récipients fermés devant contenir un fluide (liquide ou gaz) sous pression ou non.
  •  Des ensembles (ou parties d'ensembles) non fermés (carters, bâtis de machine,...).
Mise en oeuvre du contrôle
Le choix de la méthode dépend :
• De la zone de pression,
• Du l'objectif recherché (localisation, détection, mesure),
• Du domaine à contrôler (ensemble ou zone localisée),
• De la qualité de l'étanchéité recherchée.
On distingue deux grandes familles, en fonction du type de pièces à contrôler.

1 Contrôle de produits "ouverts"
Dans ce cas, il existe deux méthodes principales :

Méthode à la ventouse
Sur la zone à contrôler on applique une ventouse. La détection des défauts peut se faire :

  • Soit par dépression dans la ventouse,
  • Soit par pression de gaz (ammoniac).

Dans le premier cas, l'application d'un produit mouillant sur la face coté ventouse permet
la détection des fuites par formation de bulles.
Dans le deuxième cas, l'ammoniac sortant à l'opposé de la ventouse est détecté par un
révélateur approprié.

Méthode par liquide pénétrant
La méthode consiste à remplir la cavité d'une pièce d'un liquide pénétrant (produits de
ressuage colorés ou fluorescents). La détection des fuites se fait à l'aide d'un révélateur
(talc, produits de ressuage) ou en lumière de Wood.

2 Contrôle de produits "fermés"
Les principales méthodes utilisées sont les suivantes :

L'étanchéité à l'eau
L'essai hydraulique consiste à soumettre une enceinte à une pression déterminée et à rechercher les fuites ou perlages sur la surface externe. Cet essai permet de contrôler simultanément l'étanchéité et la résistance mécanique du réservoir. Pour les appareils à pressions la pression d'épreuve est égale à 1,5 fois celle de service.
L'étanchéité à l'air
La pièce est mise sous pression (de quelques mbar à quelques centaines de mbar). La détection des fuites se fait :

  •  Soit globalement par mesure de la chute de pression au bout d'un temps déterminé,
  •  Soit par immersion dans de l'eau additionnée de produits mouillants,
  •  Soit, localement en badigeonnant les zones suspectées par des produits mouillants.

L'étanchéité par le vide
La pièce est mise sous vide et isolée. La détection des fuites se fait par mesure de la remontée de pression au bout d'un temps déterminé. L'étanchéité aux gaz
La pièce est mise sous pression à l'aide d'un gaz. La détection des fuites se fait par un détecteur ou révélateur approprié. Les principaux gaz utilisés sont:
L'héliumL'ammoniac et Les gaz halogènes

L'étanchéité par émission acoustique
La fuite d'un fluide (liquide ou gaz) au travers d'une paroi provoque des phénomènes complexes (turbulence, cavitation, vibration,...) qui génèrent des ondes acoustiques pouvant être détectées.
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CONTRÔLES NON DESTRUCTIFS : CONTRÔLES VISUELS


Le premier contrôle des soudures est visuel pendant et après l'exécution de chaque
cordon. En général, c'est le soudeur lui-même qui l'effectue.
Le but de cette fiche est de donner quelques informations succinctes sur ce moyen de
contrôle.
 Principe du contrôle
Ce contrôle porte essentiellement sur la forme générale des cordons, à savoir :

• Les dimensions géométriques (gorge dans le cas d'une soudure d'angle,
surépaisseur,..),

• L'aspect du cordon (stries de solidification),

• Les défauts visibles (caniveaux, irrégularités de fusion,...).

Contrôle visuel du soudage manuel à l’électrode enrobée
Cette méthode est caractérisée par les points suivants :

• L'avantage de cette méthode réside dans sa simplicité, qui permet à un opérateur
averti de se faire une opinion :

  •  Sur la qualité du cordon,
  •  Sur le choix de la procédure de soudage,

• Sur la compétence du soudeur.
• Elle permet également de déclencher des contrôles plus approfondis.
• En aucun cas, elle ne permet de connaître la qualité interne d'une soudure.

Mise en oeuvre du contrôle

Par définition, le contrôle s'effectue à l'oeil nu, mais dans certains cas l'opérateur peut
avoir recours à des moyens complémentaires :
• Jauges ou calibres  pour mesurer les gorges, les surépaisseurs,...
• Loupes pour la recherche de défauts débouchants (fissures, manque de fusion,...),
• Miroirs ou endoscopes pour observer des zones non accessibles à l'oeil.

Exemple de jauges de contrôle






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CONTRÔLES NON DESTRUCTIFS


CONTRÔLES NON DESTRUCTIFS
Les contrôles non destructifs permettent, en respectant l'intégrité des objets :

  •  L’examen direct des pièces et la détection des défauts internes,
  •  Le suivi de l'évolution en service des défauts détectés.

La mise en oeuvre d'un contrôle non destructif demande la connaissance :

  •  Des possibilités et limites des procédés utilisables,
  •  De l'histoire de la pièce (forme et mode de fabrication),
  •  Des défauts recherchés (nature, position, dimensions,...),
  •  Des propriétés physiques du matériau contrôlé.

Ces connaissances permettent de choisir :
  •  La méthode de contrôle la mieux adaptée,
  •  La procédure permettant :
  1. D’observer les défauts recherchés avec le maximum de chances de détection,
  2. De quantifier de façon la plus fidèle ces défauts.

1.1 Principe du contrôle
Le but principal d'un contrôle non destructif est de déterminer la qualité ou l'état de la
soudure, avec l'intention de l'accepter ou de la rejeter en fonction de normes ou cahiers
des charges. Les principaux défauts que les contrôles non destructifs doivent déceler
appartiennent à l'une des classes suivantes :

  •  Défauts d'étanchéité,
  •  Défauts de continuité (fissures, soufflures,...),
  •  Défauts de résistance mécanique.

Dans tout contrôle non destructif, on peut détecter les cinq étapes suivantes :

  •  La mise en oeuvre d'un processus physique,
  •  L’altération de ce processus par le défaut,
  •  La révélation de cette variation par un détecteur approprié,
  •  La conversion de cette variation en une forme adaptée au traitement de l'information, L'interprétation de l'information obtenue.
Un contrôle non destructif comprend donc (figure 1) :

• Un émetteur de flux,
• Un récepteur ou détecteur.
FIGURE 1 : Contrôle non destructif.

Principaux contrôles non destructifs
Les contrôles non destructifs peuvent se classer en trois catégories :

• Les méthodes dites de surface pour lesquelles l'anomalie est localisée, soit en
surface, soit dans une zone proche de la surface (Examen visuel, le ressuage, la
magnétoscopie, les courants induits),

• Les méthodes dites volumiques pour lesquelles l'anomalie est localisée dans le
volume de la pièce (Ultrasons, rayonnements ionisants),

• Les méthodes complémentaires (Etanchéité, thermographie, émission acoustique).
Nous donnons ci-dessous les principaux contrôles non destructifs.

Contrôle visuel

contrôle d'étanchéité

Ressuage


Magnétoscopie


Courants induits


Contrôle par ultrasons


Rayonnements ionisants


Thermographie


Contrôle acoustique












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vendredi 24 février 2017

NIO EP9 : la supercar électrique la plus rapide du monde



Avec  une vitesse de pointe de 313 km/h et une puissance de plus de 1.300 chevaux , la NIO EP9 revendique le titre de supercar électrique la plus rapide du monde. Elle a  battu le record sur un tour du célèbre circuit du Nürburgring, en Allemagne, et sur le Paul Ricard en France.





NextEV n'est pas encore célèbre. Et pourtant, cette marque chinoise a remporté le tout premier championnat de Formule E en 2014 avec une monoplace électrique pilotée par Nelson Piquet Jr. Fort de ce succès, l'entreprise a décidé de se lancer dans la production d'une voiture électriqued'exception, susceptible de reproduire sur la route des performances dignes des Ferrari, Porsche et autres Lamborghini.
Voici donc la NIO EP9, une supercar dont la fiche technique impressionne : châssis monobloc en fibre de carbone, une vitesse de pointe de 313 km/h, le 0 à 100 km/h en 2,5 secondes et le 0 à 200 km/h en 7,5 secondes. À titre de comparaison, la Mission E, la future Porsche électrique de la marque allemande passe de 0 à 100 km/h en moins de 3,5 secondes.
La puissance de la NIO EP9 est délivrée par quatre moteurs dotés chacun d'une boite de vitesse. L'ensemble développe l'équivalent de 1.360 chevaux alimentés par des batteries interchangeables de 777 volts dont l'autonomie peut atteindre les 427 kilomètres. Selon le constructeur, il ne faut que huit minutes pour remplacer les batteries et seulement 45 minutes pour les recharger complètement.
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